Une nouvelle, rapportée par l’AFP, qui ne doit cependant pas alarmer outre mesure les malades d’Alzheimer et leurs proches. Comme l’expliquait le professeur Amouyel, spécialiste d’Alzheimer lors de la conférence d’Universciences en Septembre dernier à Paris:
« On ne meurt pas d’Alzheimer. Ce n’est pas une maladie mortelle. Et il n’y a pas de cause spécifique de décès chez les malades d’Alzheimer. » Ce sont en effet les complications liées à la maladie, et qui peuvent, elles, être dans bien des cas traitées et prévenues, comme les infections pulmonaires, les troubles de l’alimentation et de la déglutition responsables de fausses routes, qui entrainent le décès de la personne.
Ainsi, une prise en charge médicale soutenue et une surveillance accrue permettent de vivre avec Alzheimer, aussi longtemps que possible. Et dans des conditions que la science et le temps ne pourront qu’améliorer…