Approcher la mort est toujours très délicat, peu importe l’âge de la personne, le contexte dans lequel le décès se fait. Une perte reste une perte. C’est à ce moment précis de la « vie » que nous prenons conscience de la véritable valeur du proche qui s’en est allé pour toujours. La mort est toujours accompagnée de regrets, de remords, d’un sentiment de culpabilité.
Que la personne était hébergée en maison de retraite ou qu’elle était maintenue à son domicile jusqu’à son dernier souffle, les enfants et les proches en général éprouvent toujours le sentiment qu’ils auront pu faire mieux pour rendre la vie de cette pauvre personne meilleure.